Stéphane Beauverger
Titre :
Le Déchronologue
2009, 554 pages
Cycle :
/
L’histoire en bref :
Henry Villon, capitaine pirate des caraïbes, n’a rien à voir avec Jack Sparrow. Son univers est lui aussi bien différent : entre la fuite des protestants, expulsés d’Europe, et l’arrivée de mystérieux objets et navires dans son monde, il y a bien des éléments qui perturberaient le capitaine du Black Pearl. Villon, capitaine vague à l’âme, allié d’une étrange race, marin combattant et poète, fort en verve et fort en gueule, commande un étrange navire dans une étrange guerre, une guerre dont il sait qu’il ne réchappera pas, une guerre qu’il nous narrera…
L’avis d’Eumène :
Disons le d’entrée de jeu : je n’ai pas apprécié. Pas apprécié du tout. Pourtant cette uchronie plusieurs fois primée, souvent fort appréciée de ses lecteurs, avait tous les éléments pour me plaire : belle plume, style inhabituel, récit entraînant… Alors, est-ce le caractère en apparence décousu, la confusion volontairement insufflée par l’auteur, un mauvais moment pour ouvrir ce livre ? N’ais-je pas compris ce livre ? Je ne saurais le dire. Mais le résultat est là, et je n’y puis rien faire : ce roman ne restera pas dans ma mémoire comme une référence, ne restera pas comme un chef d’oeuvre, malheureusement.
Note finale :
6/10
Ils en parlent aussi :
J’ai du lire ce roman à deux fois. Il est en effet écrit avec de belles lettres, mais comme vous, ses chapitres dans un ordre déchronologique, m’ont fait vaciller. Au final, je le tout même apprécier. A notez tout de même que trouver la bonne batterie pour faire fonctionner la bonne machine et qui ont une aussi grande durée de vie dans le livre tient vraiment du miracle 🙂
Bon bon apparemment ça n’a pas été le grand amour entre vous deux ! J’en prends note et te dirais ce que je pense de ma lecture au final.