Arthur C. Clarke – Les enfants d’Icare

Auteur :

Arthur C. Clarke

Titre :

Les enfants d’Icare (V.O. : Childhood’s end)

1969, 213 pages

Cycle :

Axis of Time (vol.3)

L’histoire en bref :

Ils sont apparus un jour. Sans rien dire, sans rien faire d’autre, ils ont mis leurs engins en position au dessus des plus grandes villes de l’humanité et ont attendu. Puis ils se sont exprimés, et ce jour là la Terre a perdu son indépendance. L’ère des suzerains venait de débuter, et elle s’acheverait à la fin des temps.

Bien sur les hommes n’avaient pas été tous d’accord, mais ils avaient fini par s’accommoder de cette présence impressionnante mais finalement assez bienveillante. Des contestataires et des curieux essayèrent bien d’en savoir plus sur leurs maîtres, mais très peu obtinrent des informations que ces derniers n’aient pas révélé d’eux même…

Sur terre principalement, mais aussi dans l’espace pour certains, des hommes vont voir leur destin radicalement changé par les Suzerains et certains auront même le privilège de découvrir la vraie nature de leur mission sur Terre…

L’avis d’Eumène :

J’avais décidé de commencer ce challenge spatial par un grand auteur qui nous a quitté il y a quelques années déjà, un homme de génie qui figure parmi les plus grands esprits du défunt vingtième siècle. Des années 30 au début des années 2000 il a rédigé des dizaines de récits de taille variable, retravaillant parfois certains textes pour les compléter.

Ayant envie de débuter mes lectures par un ouvrage de qualité, j’avais choisi l’édition la plus précieuse de l’auteur que je possède, un Opta à la magnifique couverture rouge frappée d’une comète argentée, plusieurs pages étant par ailleurs ornées de dessins illustrant divers passages des deux romans de ce volume.

C’est du premier de ces deux textes qu’il est ici question, « Les enfants d’Icare », un texte qui a un peu vieilli et qui n’est pas l’un des plus visionnaires de l’auteur mais qui reste des plus plaisant et m’aura fournit une introduction en douceur aux univers spatiaux de cet été, que je continue à parcourir avec le volume de « collected short novels » de l’auteur, au nombre desquelles figure « Guardian Angel », prototype de la première partie de « Childhood’s end » rédigé en 1946.

Au final donc une agréable lecture qui ouvre la route des étoiles !

Note finale :

08/10

N.B. :

Challenge Summer Star Wars

Quelques opinions trouvées sur le web :

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3 réflexions sur “Arthur C. Clarke – Les enfants d’Icare

    1. Je suis plongé dans ses nouvelles (enfin là je fais un petit détour par un reccueil de nouvelles de Ray Bradbury et je suis aussi passé par le Palimpseste de Stross, mais passons…), j’apprécie beaucoup son style pour l’instant. Mais je puis comprendre que cela ne plaise pas à tout le monde, surtout quand il devient très technique…

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