L’autre bibliothèque

Un ami m’ayant offert un nouveau livre me fit prendre conscience de la difficulté qui existe pour ceux qui veulent accomplir un tel geste : si les romans que je possède sont en effet affichés en ces lieux depuis longtemps, il n’en va pas de même pour les autres ouvrages, qu’il s’agisse de livres d’art, catalogues d’expositions, traités philosophiques ou d’histoire, essais divers et textes anciens.

J’ai donc le plaisir de vous présenter une nouvelle page, « l’autre bibliothèque », qui reprend l’état du reste de ma collection (à l’exclusion toutefois des manuels informatiques).

Je profite de ce billet pour mentionner au passage que j’ai 8 compte rendus de retard (‘L’oeuvre au noir » de Yourcenar, « Le déchronologue » de Beauverger, « Littératures fantastique : Belgique, terre de l’étrange vol.3 », « Gloriana, la reine inassouvie » de Moorcock, « The technologists » de Pearl, « Les guèpes » d’Aristophane, « Reaper’s Gale » de Erikson et enfin « Metal Swarm » de Anderson), que j’ai completement manqué le challenge « Winter Time Travel« , notamment parce que j’ai pris du retard dans mes comptes rendus et parce que j’ai oublié de faire les liens nécessaires pour les articles publiés (mea maxima culpa !). J’ai été tellement mou sur ce coup là que même la page « il relève le gant » n’avait pas été mise à jour, un signe sans doute ! Néanmoins, toutes mes excuses à dame Lhisbei.

Parlant Challenge, c’est celui « Magie et Sorcellerie » qui s’achevait justement ces jours derniers. Et je constate que j’ai bien accompli mon objectif de cinq lectures ! Youpie ! 🙂

Sur cette bonne nouvelle je vous laisse pour essayer de résorber mon retard dans mes diverses activités…

Ian C. Esslemont – Orb Scepter Throne

Auteur :

Ian C. Esslemont

Titre :

Orb Scepter Throne

2012, 605 pages

Cycle :

Malazan Empire (vol. 4)

L’histoire en bref :

Darujhistan, la plus riche des cités du continent de Genabakis se remet à peine des évènements récents qui ont vu la mort du Fils des Ténèbres, Anomander Rake, vaincu par la première lame de l’Empire Malazéen, Dassem Ultor, aussi connu sous le nom de Dessembrae, seigneur des larmes. Dans la ville ils sont nombreux à s’agiter pour veiller à la sécurité future du joyaux du continent, prêts à tout pour atteindre cet objectif. Lorsqu’un lettré découvre une tombe mystérieuse protégée par une puissante magie, certains décide que la puissance qui y est endormie peut devenir la garante de l’avenir de la cité…

Pendant ce temps, loin de là, dans le sud du continent, nombreux sont ceux qui cherchent à faire fortune dans les vestiges de la cité volante des enfants des Ténèbres, l’ancienne capitale mobile d’Anomander Rake, réputée pour la richesse de sa décoration. Antsy, sapeur de la mythique unité des Bridgeburners (brûleurs de ponts), est lui aussi attiré par la masse de pierre qui s’est abattue dans la mer et n’est désormais plus accessible qu’en bateaux. Mais ses motifs ne sont peut-être pas ceux que l’on crois, et ses compagnons de voyage sont au moins aussi exceptionnel que lui…

Au même moment, dans un entre-monde qui semble irréel, Léoman et Kiska poursuivent la quête qui leur a été assignée par la reine des Rêves : retrouver l’archi-mage Tayshrenn…

L’avis d’Eumène :

Je n’ai pas encore parlé en ces lieux de l’univers Malazéen, un univers de fantasy sombre et remarquable issu des soirées de jeux de rôle de deux amis, Steven Erickson et Ian C. Esslemont.

Erickson fut le premier à publier des romans tirés de ces aventures ludiques, entamant ainsi une série de quelques douze volumes (à l’heure actuelle du moins) dans lesquels nous suivons divers personnages humains, divins ou simplement fantastiques au travers d’un titanesque conflit aux proportions cosmiques, où les dieux autant que les mortels font basculer le destin d’empires et de peuples entiers.

Esslemont a suivi son compagnon de jeux quelques années plus tard et le présent volume est le quatrième qu’il ait publié. De tous il est sans doute l’un de ceux qui ont le plus de connexions avec la série initiale de Erickson, en particulier les trois premiers tomes, apportant de nombreux détails complémentaires à sa trame tout en poursuivant le récit initié par Esslemont lui même. Ce volume est sans doute le meilleur de l’auteur jusqu’à présent, un bon équilibre de nouveautés, de compléments au canon de la série, de nombreux rebondissements, de personnages intéressants et d’un scénario au final riche et complexe. Bref un vrai plaisir !

Note finale :

9/10

Ils en parlent aussi :

The Wert Zone

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie

Pierre Pevel – Les lames du Cardinal – Trilogie intégrale

Auteur :

Pierre Pevel

Titre :

Les lames du Cardinal – Trilogie intégrale

(Les lames du Cardinal – L’Alchimiste des Ombres – Le Dragon des Arcanes)

Cycle :

Les lames du Cardinal

L’histoire en bref :

Conduits par le capitaine La Fargue, ils sont un groupe exceptionnel qui n’a qu’un seul objectif : servir la France. Pour se faire ils se sont mis au service de son premier serviteur, Armand Jean du Plessis, cardinal de Richelieu : ils sont devenus ses lames. Mais depuis une certaine trahison lors du siège de La Rochelle, ils ne sont plus que l’ombre d’eux-même. Séparés, partis suivre leurs voies en toute indépendance, ils ne se voient plus et ne se parlent plus, jusqu’à ce que le devoir les réunisse une nouvelle fois.

Car le Cardinal a besoin d’eux pour un service très spécial, une de ces missions où l’on risque de croiser des Dragons ou leurs agents de la Griffe Noire, une mission où l’esprit aura autant sa place que l’habileté aux armes. Plus braves que d’Artagnan, plus forts que Portos, plus rusés qu’Aramis, plus nobles qu’Athos, voici La Fargue et ses compagnons.

L’avis d’Eumène :

J’avoue que j’étais dubitatif au moment d’entamer ma lecture. Si j’avais apprécié l’autre trilogie de l’auteur, je n’étais pas certain de sa capacité à porter « dans le monde réel » un univers de fantasy. Et si ces craintes se sont révélées partiellement fondées, il ne reste pas moins que ce fut une excellente lecture.

En fait mon problème vient sans doute du fait que j’avais vu ce récit classé comme uchronie, alors qu’à vrai dire cela ne doit être à mon sens vu que comme une fantaisie de fantasy, plus proche du récent film « The three musqueteers » avec ses dirigeables et ses mousquetoninja que de la série de romans « 1632 » d’Eric Flint.

En effet l’idée même que la société humaine aurait donné naissance à la situation géopolitique décrite dans un monde où les dragons et leurs agents pratiques maints actes criminels n’est tout simplement pas plausible, et ce fait m’a poursuivi tout au long de ma lecture.

Mais si l’on fait abstraction de ce fait, on se retrouve dans un récit bien construit, même si l’on pourra lui faire les mêmes reproches que pour la trilogie de Wielstadt : j’écrivais en effet que

… le lecteur plus adulte préferera sans doute la lecture d’un roman comme le somptueux “Gagner la Guerre” de Jaworski.
On pourrait regretter que la lecture en suivi des trois texte mette trop en lumière certaines reprises, rendent lourdes par la répétition certaines expressions, mais il serait injuste d’en tenir rigueur à l’auteur.
Après tout ces trois ouvrages ont été publiés avec un certain délais entre eux qui fait que ces éléments étaient si pas nécessaires, du moins pertinents.

Mais on notera tout de même que cette trilogie ci est beaucoup sombre que la première et que les remarques sur la préférence d’un lectorat plus jeune sont ici bien moins pertinentes.

Bref une bonne lecture que l’on saura recommander à tous !

Note finale :

8/10

Ils en parlent aussi 

Dans le carnet de Sipho

Polar addict

Les lubbies de Noryane

Axl’Mag’

– Daidin : premier romandeuxième roman,  troisième roman

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie

Paul Hoffman – The Last Four Things

Auteur :

Paul Hoffman

Titre :

The Last Four Things

Cycle :

Le cycle de Thomas Cale (vol. 2)

L’histoire en bref :

Thomas Cale est un adolescent victime des pires sévices, infligés depuis sa plus tendre enfance par un ordre monastique masochiste dirigé par un chef millénariste qui croit que l’enfant est la colère du Seigneur faite chaire pour amener le monde à sa fin. Enfin parvenu à s’échapper, Thomas n’a fait qu’entraîner la défaite de la nation qui l’a accueilli. Trahi par celle grâce à qui il a découvert l’amour, il est retombé entre les mains de ses bourreaux.

Mais son statut à changé : il n’est plus un simple novice mais une machine à tuer dont les plans suivis à la lettre ont donné à ses maîtres une victoire inespérée sur leurs ennemis. Mis à la tête d’une armée, il défait adversaire après adversaire. Ses soldats, choisis avec soin par son maître, ont été éliminés suite à une erreur administrative ? Qu’à cela ne tienne, il recrutera un nouveau cadre au sein des condamnés à mort pour hérésie. Il doit affronter un ennemi insaisissable ? Une armée invincible des meilleurs guerriers du monde ? Pas de soucis, il est la cinquième des dernières choses qui resteront à la fin du monde…

L’avis d’Eumène :

J’avais à l’issue du premier volume de cette série un avis globalement positif mais avec quelques réserves. Ce roman vient y répondre sombrement. Car l’auteur a cette fois réussi à donner une ambiance vraiment malsaine à cet univers qui mélange allègrement Antiquité et Moyen-Âge en puisant aux meilleures sources pour créer ce culte morbide des Rédempteurs ou cette culture caricaturale inspirée de Sparte que va rencontrer le héros.

Le récit parallèle des aventures d’un des anciens compagnons de Cale est en revanche un peu surprenant, on ne comprend pas vraiment ce qu’il vient faire dans ce récit si ce n’est sans doute fournir un fil que l’on retrouvera dans la suite de la série.

L’auteur se déclare inspiré par, notamment, Homère, Schopenhauer et le philosophe catholique contre-révolutionnaire Joseph de Maistre et l’on ressent bien ces influences en divers passages du récit, qui est écrit d’une plume généralement soutenue. On regrettera cependant que bien souvent les peuples qui habitent cet univers ne soient pas mieux décrits, de même que l’on sera déconcerté par la géographie qui, utilisant des noms issus de notre univers, ne permet pas de réellement visualiser cet empire Rédempteur encerclé par des ennemis implacables dont on comprend que Thomas Cale devra, à terme, provoquer la mort.

Bref une lecture pas mauvaise, mais qui à nouveau laisse le lecteur avec des réserves…

Note finale :

7/10

Ils en parlent aussi :

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie
Challenge SFFF et Antiquité

Georges R.R. Martin – Le trône de fer

Auteur :

Georges R.R. Martin

Titre :

Le trône de fer

1998, 479 pages

Cycle :

Le trône de fer (vol. 1)

L’histoire en bref :

Dans le nord règnent deux puissances : les Stark et le froid. Les premiers sont une famille puissante, unie autour de son patriarche, un homme dont la principale qualité est probablement le doute qui l’habite en permanence et assure qu’il reste modéré en toute chose. Le froid, lui, est la marque de l’hiver, jamais bien loin lorsque l’on s’approche du grand mur que gardent les hommes de la Garde Noire.

Dans le sud on trouve la capitale du Royame des 7 couronnes,  et un souverain hédoniste qui doit faire face aux intrigues de la famille de sa femme et au meurtre de son premier conseiller, celui que l’on appelle la Main du Roi. Mais Robert Baratheon doit aussi faire face à d’autres menaces dont celle de voir une invasion de barbares venus de par-delà les mers, conduits par l’héritier de ce trône de fer que Robert a arraché à son prédécesseur à coups de masse.

Lord Stark semble à Robert être un bon moyen de régler tous ses problèmes, mais ce faisant c’est le malheur qu’il va appeler sur la famille au Loup Garou…

L’avis d’Eumène :

Une série au souffle épique, une série aux nombreux personnages et aux destins tragiques, une série qui n’hésite pas à tuer les bons comme les méchants, une série comme on en voit trop rarement. Mais une série que je n’ai découvert qu’après avoir vu l’adaptation télévisée, une série qui a donc perdu à mes yeux une partie de son charme : la production hollywoodienne semble en effet avoir réussi à donner plus de profondeur à cet univers que ne l’avait fait l’auteur même de ce récit.

Une lecture un peu décevante donc, du fait de cette surimpression permanente des images sur le texte, même si l’on a pas grand chose à reprocher à l’ensemble. Dommage.

Note finale :

8/10

Ils en parlent aussi :

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie

Paul Hoffman – The Left hand of God

Auteur :

Paul Hoffman

Titre :

The Left Hand of God

Cycle :

Le cycle de Thomas Cale (vol. 1)

L’histoire en bref :

Dans un sinistre monastère isolé du reste du monde, des jeunes gens sont battus et formés pour devenir l’élite d’une armée destinée à vaincre une bonne fois pour toute l’hérésie. Parmi les jeunes soumis à ces traitements infâmes, Thomas Cale est sans doute le plus doué mais aussi le plus maltraité.
Mais lorsqu’il découvrira toute l’étendue de la perversité de ses maîtres, il n’aura d’autre choix que de fuir en compagnie de deux de ses compagnons d’infortune et d’une jeune fille sauvée d’une mort horrible.
Cependant le monde extérieur est au moins aussi dangereux que celui de la forteresse et le jeune Cale aura beaucoup à faire pour assurer sa survie tout en découvrant un univers insoupçonné de sentiments et d’émotions…

L’avis d’Eumène :

Très sombre, ce récit tranche aussi avec bien d’autres romans de fantasy par son orientation action, préférée par l’auteur au rythme traditionnellement plus lent de la fantasy. Pourtant, malgré cette vitesse, l’auteur parviens à distiller nombre d’informations sur l’univers dans lequel évoluent Cale et ses compagnons, éléments faisant principalement appel à l’univers médiéval (notamment un quasi copié/collé de la bataille d’Agincourt) même si l’on note des références à l’antiquité (une des armées mentionnées pourrait faire penser à Sparte).
Globalement le récit maintient l’attention du lecteur et l’on en viens presque à se prendre de pitié pour ce jeune homme à la vie si tragique. Pourtant la magie n’opère pas entièrement, et la lecture peut laisser un goût de trop peu qui pourrait être lié à une volonté d’étirer le récit sur plusieurs volumes.
Ceci étant cela reste une bonne lecture de divertissement pour tout qui ne recherche pas tant un univers à la « LOTR » qu’un roman d’action.

Note finale :

8/10

Ils en parlent aussi :

Nuits Argentées

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie
Challenge SFFF et Antiquité

Pierre Pevel – La trilogie de Wielstadt

Auteur :

Pierre Pevel

Titre :

La trilogie de Wielstadt : l’intégrale

(Les ombres de Wielstadt, Les masques de Wielstadt, Le chevalier de Wielstadt)

Cycle :

La trilogie de Wielstadt

L’histoire en bref :

Dans une cité allemande troublée par les tensions politiques et religieuses de l’an 1620 veille un dragon.
Et sous son regard impassible s’animent des hommes, des centaures, des fées ou des satyres, bons ou mauvais, adorateurs de Dieu ou du Démon, luttant pour leurs causes ou leur survie.
L’un de ces hommes est le Chevalier Kantz, exorciste et combattant hors paire, allié des Templiers et de la mystérieuse Dame Rouge.
Face à lui, des hommes et des monstres : goules, démons, sociétés secrêtes et comploteurs en tous genres sont prêts à tout pour triompher.
Mais le Chevalier saura vaincre au cours des trois romans ici rassemblés, aidé dans sa quête par des alliés parfois inatendus.

L’avis d’Eumène :

On me parlait depuis longtemps de cette série, la sortie en 2011 d’un volume unique reprenant la trilogie fut donc l’occasion pour moi de la découvrir.
Une découverte agréable, melant intelligement esprit dumasien et monstres surnaturels, le tout dans un esprit qui le rend accessible aux lecteurs plus jeunes tout en ne décevant pas les aînés.
Les allusions au monde extérieur et les éléments uchroniques sont également une bonne trouvaille et donnent de la profondeur au récit.
Ceci étant, le lecteur plus adulte préferera sans doute la lecture d’un roman comme le somptueux « Gagner la Guerre » de Jaworski.
On pourrait regretter que la lecture en suivi des trois texte mette trop en lumière certaines reprises, rendent lourdes par la répétition certaines expressions, mais il serait injuste d’en tenir rigueur à l’auteur.
Après tout ces trois ouvrages ont été publiés avec un certain délais entre eux qui fait que ces éléments étaient si pas nécessaires, du moins pertinents.
Au final une agréable lecture qui saura ravir grands et petits !

Note finale :

8/10

Ils en parlent aussi :

Elbakin

Miss Mopi

L’étrange bibliothèque de Calewen

ActuSF

Mort Sure

L’autre côté du miroir

Les livres de ma vie

N.B.

Challenge Magie et Sorcellerie
Challenge SFFF et Antiquité

Plein de challenges

Bonjour à toutes et tous,

Un samedi de désœuvrement post-nuit blanche m’a donné à la fois mauvaise conscience et plein d’énergie. En conséquence, téméraire, j’ai décidé de m’inscrire à de nouveaux challenges. Bon d’accord, vu mes lectures cela ne risque pas de me couter beaucoup d’efforts que de répondre à ces challenges, mais tout de même il me faudra rédiger les billets, ce qui nécessitera des (re-)lectures mais participera à mon objectif de documentation de l’ensemble de ma collection de romans et nouvelles.

Sont donc au programme :

Challenge Histoire : 17 août 2010 – 1er septembre 2011

Organisé par Jelydragon, il s’agit tout simplement de « de lire sur le thème de l’Histoire, que ce soit des romans, biographies, essais… ». Comme je lis pas mal de romans historiques et que la deuxième moitié de la bibliothèque d’Eumène est composée en majeure partie d’ouvrages scientifiques relatifs à l’histoire greco-romaine, en ce compris des biographies (anciennes et modernes), je devrais pouvoir aisément compléter le challenge !

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  – Challenge Moyen-Âge : pas de limite de temps

C’est sur délivrer des livres, le blog de Hérisson08, que j’ai trouvé ce challenge visant à lire  le plus de livres possibles dont l’action se déroule entre 500 et 1500, un cadre large donc qui devrait me permettre de rapidement compléter le niveau « chevalier » de ce challenge, atteint à partir de 5 livres qui peuvent aussi être lus dans un autre cadre, en l’occurrence celui du challenge histoire… Je pense que je vais me plonger dans la trilogie viking de Tim Severin, le Baudolino d’Umberto Eco et le nouveau Richard Blake sensé sortir en juin (mais que j’achèterais sans doute lors d’un passage à Londres durant l’été).

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Challenge Magie et Sorcellerie : mars 2011 – mars 2012

C’est Ellcrys qui s’est proposée de nous faire partir pour des terres de magie avec ce challenge qui nous entraîne à la poursuite de toutes formes d’arcanes secrets… Évidemment le gourmand que je suis va concourir dans la catégorie des magiciens confirmés (avec sans doute du Steven Erickson, du Raymond E. Feist et du Trudi Carnavan au menu). Par contre je ne tomberais pas dans le piège de la sortie du nouvel Harry Potter et ne relirais donc pas les 7 volumes de la série (ni même, d’ailleurs, les excellentes fan-fictions d’Alixe…), pas la peine donc d’insister 🙂 Après tout j’ai encore assez de volumes à lire, éventuellement même non repris dans ma PAL car présents depuis trop longtemps sur mes rayons et nécessitant la relecture de l’ensemble de la série auxquels ils appartiennent (et oui je vise notamment Feist…)

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  – Challenge Défi Steampunk : pas de limite de temps

Un blog tout entier est consacré à ce challenge ou plutôt à ces challenges : trois catégories sont en effet présentes, entre livres de mots, livres d’images et images animées. J’ai pour ma part choisi de concourir au titre d’aéronaute expert (lecture de 10 romans ou nouvelles) et de savant fou amateur (visionnage de films, séries tv ou animes).

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  – Challenge SFFF : pas de limite de temps

En se basant sur la liste des œuvres remarquables des littératures de l’imaginaire dressée par le Cafard Cosmique, Bulle de Neige propose un challenge à différents niveaux d’implication qui m’a séduit. J’ai donc là aussi demandé mon inscription, directement dans la catégorie Tolkien, celle qui fait le plus lire !

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Challenge Littérature belge : 10 mars 2010 – 31 décembre 2013

C’est sur Marécages, le blog de Reka, que j’ai trouvé cet appel à (re-) découvrir la littérature de ce plat pays qui est le mien… Et je n’ai pu m’empêcher d’y répondre ! C’est donc en bon Gros Belge que j’ai décidé de participer, ce qui va me conduire à relire certains de mes classiques et à enfin finir la collection des recueils de littérature fantastique belge qui sont dans ma bibliothèque depuis quelques temps déjà…

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Il est à noter que beaucoup de ces challenges ont été découverts grâce au site Mon annuaire littéraire que maintient Catherine : qu’elle en soit vivement remerciée ! Et maintenant, à nos lectures…